the end
Bon ben voilà, c'est fini...
Peut-être deux trois mots que je n'osais pas dire lorsque j'étais sur place. Critiquer le gouvernement angolais équivaut à signer son arrêt de mort. Dans les bus, certaines personnes vous poussent à donner votre opinion politique. Si par malheur vous la donnez (et qu'elle est critique envers le président), vous pouvez vous attendre à voir la milice débarquer.
Le pays possède des richesses telles que du pétrole et des mines de diamants. Bien évidemment, ces richesses profitent avant tout au gouvernement et aux compagnies pétrolières et à quelques rares angolais privilégiés (comprendre proches du pouvoir). Mais il est vrai que Total poursuit une politique d'angolisation ambitieuse et offre un nombre important de postes aux locaux en faisant de moins en moins appel aux expatriés.
La ville change, se modernise très très rapidement...espérons que ce soit pour le bien de ses 8 millions d'habitants...
Merci à Barbu, pour sa bonne humeur quotidienne et pour les fous rires partagés....
une tendre pensée au Matou...